Le rap, le break, le smurf, le scratch, le mc'ing, le beat box, le graff, le tag. Quel est le point commun entre toutes ces disciplines ? Elles sont toutes nées dans la rue et elles ont toutes un lien commun qui les unit le mouvement hip-hop.
Le graffiti y tient une place prépondérante dans ce domaine pas de festival sans graff, et les writers sont toujours de la partie pour représenter le hip-hop car ils sont les fers-de-lance dans cet univers par leurs œuvres ils font vivre et transmettre cette passion.
L'ère de la culture hip-hop : Dans les années 1990, le street art est devenu intimement lié à la culture hip-hop, avec des artistes tels que KRS-One et A Tribe Called Quest faisant référence à l'art urbain dans leurs paroles et leur esthétique visuelle. Les graffitis et les fresques murales sont devenus un élément important de la culture hip-hop, reflétant les valeurs d'expression personnelle et de résistance contre les systèmes oppressifs.
Le graffiti y tient une place prépondérante dans ce domaine pas de festival sans graff, et les writers sont toujours de la partie pour représenter le hip-hop car ils sont les fers-de-lance dans cet univers par leurs œuvres ils font vivre et transmettre cette passion.
B-boy, B-girl c'est quoi ?
Contraction de break boy/break girl, ce terme provient du Bronx Ă New-York, au dĂ©but des annĂ©es 70. Le cĂ©lèbre DJ Kool Herc jouait des partis d'un morceau ou des danseurs et danseuse s'affronter et Ă chaque fois que le morceau s’arrĂŞter c'Ă©tait le dĂ©part pour le crew adverse de danser. Et c'est par ces pauses que le mot break-boy ou break-girls (b-boy/b-girls) Ă©clos. De lĂ est sorti le break dance mĂ©langeant chut et rotation au sol. Il faut savoir qu'Ă cette Ă©poque les films d'art martiaux Ă©taient en vogue, ainsi les danseurs ont vite incorporĂ© les cascades d'art martial pour soulever et Ă©pater les foules. aujourd'hui le B-Boying a Ă©voluĂ© pour devenir une danse très exigeante physiquement et mentalement. Avec d’Ă©normes compĂ©titions de danses b-boy organisĂ©es dans le monde entier, tel que le BOTY (Battle Of The Year) en Allemagne et les Freestyles Sessions partout dans le monde. De plus les b-boys/b-girls n'aiment pas ĂŞtre appelĂ©s break dancers car c'est un terme inventĂ© par les mĂ©dias dans les annĂ©es 80 et ce n'est pas une expression "vraie hip-hop".
Le graffiti est en effet l'un des éléments fondateurs de la culture
hip-hop, et a été popularisé par les writers new-yorkais qui ont
commencé à taguer les murs de la ville dans les années 1970. Les
graffiteurs ont utilisé le graffiti comme moyen d'expression et de
revendication de leur identité dans les quartiers défavorisés de la
ville, où les opportunités d'expression artistique étaient limitées.
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Paris est mouv' true school jam Paris, par le writer YELLOW (65ers) |
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SUM (tmp) le personnage gauche AOS au wildstyle & ESKIS le personnage droit |
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Une B-girls |
B-Boy, bombe & bob par SUM (SUMER) AOS/ TMP |
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Air max 90, B-girls par OBVIOUS store |
L'ère de la culture hip-hop : Dans les années 1990, le street art est devenu intimement lié à la culture hip-hop, avec des artistes tels que KRS-One et A Tribe Called Quest faisant référence à l'art urbain dans leurs paroles et leur esthétique visuelle. Les graffitis et les fresques murales sont devenus un élément important de la culture hip-hop, reflétant les valeurs d'expression personnelle et de résistance contre les systèmes oppressifs.
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Par SINY& NDA (65ers) |
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On n’arrĂŞte pas un peuple qui danse |
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B-boy avec béret par SUM (tmp) |
L'artiste FRA.K/FRAKA/FRACA et son personnage qui accompagne ses œuvres (AOS) |
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FINO,REAK,LASR,MAL,TERY,BLEND Ă la fresque, ESKIS la B-girls |
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B-boy & coupe Afro par l'artiste DUNK (NMC/OVF) |
B-boy pour le crew OVF |
"You talkin' to me !?" par SYD.J (DSC crew) |
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Wildstyle par le GB Crew & B-girl par l'artiste ESPER (HEC crew)
Le graffiti est en effet l'un des éléments fondateurs de la culture hip-hop, et a été popularisé par les graffeurs new-yorkais qui ont
commencé à taguer les murs de la ville dans les années 1970. Les pionniers ont utilisé le graffiti comme moyen d'expression et de
revendication de leur identité dans les quartiers défavorisés de la
ville, où les opportunités d'expression artistique étaient limitées. Le graffiti a également joué un rôle important dans la création de la
typographie hip-hop, avec des artistes comme Dondi, Lee et Futura 2000 qui ont créé des styles de lettrages qui ont influencé la création
de logos et de designs dans le monde de la musique hip-hop. Le graffiti est rapidement devenu une partie intégrante de la culture
hip-hop, car il offrait une plateforme pour l'expression de soi et la
revendication d'identité dans un environnement urbain souvent hostile.
Les graffiteurs ont commencé à utiliser les murs des bâtiments, les
trains et les espaces publics comme des toiles pour leurs créations,
utilisant des bombes de peinture et des marqueurs pour créer des
lettrages stylisés, des personnages et des motifs abstraits. |
B-boy & ghetto blaster par GAB |
B-boy en SD par MK MAKER (CTS) |
B-boy par FRA.K (AOS crew Angelz Of Street since 88) |
The War Report: Capone & Noreaga par YELLOW (65ers) |
B-boy par SUM1 (SUMER TMP crew) |
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HIP-HOP par le street-artiste YELLOW (65ers/3AD) Zulu Nation |
En somme, le hip-hop et le graffiti sont étroitement liés, jouant un rôle important dans la création et l'expression de la culture hip-hop. Le graffiti offre une plateforme pour l'expression
artistique et la revendication d'identité, tout en contribuant à la création de la
typographie et du design hip-hop.
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